Éternels Éclairs


Le Faune

Un vieux faune de terre cuite
Rit au centre des boulingrins,
Présageant sans doute une suite
Mauvaise à ces instants sereins

Qui m’ont conduit et t’ont conduite,
- Mélancoliques pèlerins, -
Jusqu’à cette heure dont la fuite
Tournoie au son des tambourins.

— Paul Verlaine,
Fêtes Galantes

Du même auteur

Les Poèmes de Paul Verlaine de A à Z

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