Éternels Éclairs

Poésie et poèmes romantiques de Stéphen Moysan

Munch : Le baiser

I

Avec toi, la lumière de la joie Comme un feu d’artifice Nous envoie vers les étoiles. Ton esprit est une mer calme Mais personne ne peut se noyer Dans la profondeur de ton âme. Aussi je nage en plein bonheur Sans craindre que tu t’envoles Car t’aimer donnerait des ailes.

— Stéphen Moysan
J'écris mes silences

II

Dans tes yeux, Mon désir Se reflète. J’ai lu en toi, La première raison De mon amour. Ton âme mise à nue, Faire de même Avec ton corps.

— Stéphen Moysan
Effets du soir

III

Nés à la même époque Toi et moi, au même endroit, Quelle chance y avait-il ? Le big bang de notre rencontre La création de nos vies communes - Tout un espace à explorer. L’univers est un mystère Il continue de s’étendre Notre amour, aussi.

— Stéphen Moysan,
Des espoirs, ô désespoir

IV

Sa main dans ma main Ses yeux dans mes yeux Instant passionnel. Le temps d’une étreinte Sur mes lèvres Ses douces lèvres. Battements du cœur Le Tic-Tac résonant Des secondes amoureuses.

— Stéphen Moysan,
Des espoirs, ô désespoir

V

Déshabillée Par mes mots Un frisson soudain. Tout en moi Ne refuse rien d’Elle Douce féérie. Le corps tremblant Le cœur qui palpite Effets secondaires.

— Stéphen Moysan,
Poésie nouvelle

VI

Déshabillée Par notre amour Chaleur d’été. À la limite Du presque trop Sa beauté. Le sourire d’une femme Un bien de plus Dans la vie.

— Stéphen Moysan,
Les Elle de l'amour

VII

Matin d’été Nuit plus courte Café plus long. Plaisir familier Les yeux dans les yeux Se dire : Je t’aime. Marche commune Dehors – Plus beau L’horizon à deux.

— Stéphen Moysan,
Les Elle de l'amour

VIII

À peine séparés Chacun ses obligations Tu me manques déjà. Pour moi, à l’évidence, Tu déplaces le centre du monde Quand tu t’éloignes. L’amour toujours Le plus court chemin Pour te rejoindre.

— Stéphen Moysan,
Les Elle de l'amour

IX

Si légère son âme La moindre phrase Semble trop lourde. Nuit sans sommeil Je cherche son amour Dans le lointain. Vouloir ses lèvres Entendre ses mots Et puis rien d’autre.

— Stéphen Moysan,
Les Elle de l'amour

X

Allongé dans la pénombre Je te devine venir à moi Sublime, cet instant. Comme une évidence Mon silence après l’amour Encore de l’amour. Entendre le battement Régulier de ton cœur - La constante de ma vie.

— Stéphen Moysan,
Pauvre coeur, riche de poésie

XI

Tout ce que je veux Une vie simple Pleine d’écriture, Des soirs d’amour Pour se réveiller Heureux le matin, Dans un monde apaisé Vivre doucement En respirant le bonheur.

— Stéphen Moysan,
Couleurs septembre

XII

Sur les lignes de ton corps Je lis en braille des mots d’amour Jusqu’au point de ton grain de beauté. Entre les guillemets de tes fossettes Tes virgules au coin des lèvres Ponctuent nos parenthèses enlacées. C’est tout un poème à découvrir Libéré de la rime embrassée Les pages blanches de ta peau.

— Stéphen Moysan,
L'Eloquence du Calme

XIII

Plaisir familier La chaleur De sa main sur le cœur. Ma crainte Si l’espoir fait vivre Les désillusions peuvent tuer. Je veux aimer assez fort Pour pouvoir le faire Toute une vie.

— Stéphen Moysan,
L'Eloquence du Calme

XIV

Elle est si étincelante Que les braises de mon cœur Prennent feu. Elle m’allume Dans les flammes de l’amour Toute ma vie brûle. Crépitant d’envie - Je pourrais tout lui dire Dans nos silences partagés.

— Stéphen Moysan,
Symphonie du coeur

XV

Dans le lit Blottis dans le non-dit Je caresse un rêve. Mes doigts amoureux Lisent en braille La poésie de son corps. Posant ma main Sur sa poitrine J’entends battre le cœur du monde.

— Stéphen Moysan,
Symphonie du coeur

XVI

Au-delà du silence Un temps qui n’est pas perdu Qui ne fait que passer. Après une nuit d’amour Tôt le matin Réveil en douce heure. Son baiser Un argument Pour voir le monde autrement.

— Stéphen Moysan,
Symphonie du coeur

XVII

Créer des poèmes Comme le ciel des étoiles Rayonner de bonheur. Une source d’espoir Qui inonde de lumière Ses éclats de rire. Les leçons de son cœur Professant l’amour M’enseignent la joie.

— Stéphen Moysan,
Symphonie du coeur

XVIII

Elle me fait découvrir l’éternité En l’espace d’une seconde - Et touche la gravité sans pesanteur. Quand mes silences Sont plus lourds qu’un cri Sa parole réconforte. Elle m’apprend Comment contenir un amour infini Dans une vie limitée.

— Stéphen Moysan,
Symphonie du coeur

XIX

Les années sont courtes Mais les heures sont longues Quand elle est absente. Une semaine sans elle Plus qu’une vie avec elle Voilà qui me soucie. C’est pour vivre ensemble Un week-end d’amour Que commence le lundi matin.

— Stéphen Moysan,
Symphonie du coeur

XX

Mon amour, je ne t’offrirai pas de fleurs, Pas de sentiments qui s’ouvrent et se fanent, Non, pour nous, aucune épine au cœur Plutôt de la complicité et de la tendresse. Je t’aime sans déraison, Une grande passion finit par un grand abandon, Mais je t’aime à ma façon Si haut, que s’en arrête la course des nuages.

— Stéphen Moysan,
Éclats de vers

XXI

L’amour rend aveugle Ça crève les yeux Mais si dans le noir je vois C’est grâce à toi. J’ai tant de chance Bonheur sublime Je n’ai rien promis Et tu donnes tout.

— Stéphen Moysan,
Éclats de vers

XXII

Elle a le cœur grand Comme la hauteur du ciel, La beauté lunaire Et la chaleur du soleil, Elle me met des étoiles Dans la tête, Si seulement il suffisait De lui écrire un poème.

— Stéphen Moysan,
Confessions

XXIII

Dans ton cœur brisé J’ai pu m’introduire Par chance D’avoir souffert aussi. Les paroles des gens heureux Sont douces mélodies Mais les plus beaux échanges Sont des silencieux.

— Stéphen Moysan,
Poèmes d'ombres et de lumière

XXIV

Pour toi ma belle, j’écris Sur le temps passé, Sur notre amour vécu, Sur la vie sans regret, Rien ne t’est impossible, Même d’être l’âme d’un poème, Quand mes lèvres se posent Sur les tiennes, j’embrasse l’avenir.

— Stéphen Moysan,
Poèmes d'ombres et de lumière

XXV

Si tu es tout là-haut Au ciel, seigneur, Il y a sur Terre cette femme Qui plus que toi me manquerait. Mon Dieu, pour Elle Je veux bien perdre le Paradis, Si tu me maintiens Dans le royaume de son cœur.

— Stéphen Moysan,
Pensées blues et mots roses

XXVI

Dans la noirceur de la nuit Solitude se précise, Et moi je t’aime comme l’air du ciel Aime le vent, la pluie ou le beau temps. L’amour est le joyau des cœurs Et le tien ne se vend pas, Nul ne peut payer avec un salaire obscur L’inestimable bien.

— Stéphen Moysan,
Pensées blues et mots roses

XXVII

Chaque jour, chaque nuit Tu es ma lumière Tu es mon essence ciel Je roule pour toi vers l’au-delà, Ton regard, ton sourire, tes mains Les meilleurs moments de ma vie, Un monde s’élève en toi Mon amour, mon paradis.

— Stéphen Moysan,
Croquis sur l'amour

XXVIII

Contre la bêtise qui enferme les cieux, J’ai visé l’horizon de ton amour, Contre ceux qui font de l’univers un enfer, En enfer, pour toi, j’irais pour toujours. Puisque tu inspires tous les mots du poète, Et qu’à t’aimer mon cœur est à la fête, J’ai prié pour pouvoir pécher à tes cotés Et vivre ton éternité dans chaque seconde.

— Stéphen Moysan,
Croquis sur l'amour

XXIX

Avant de te connaitre L’amour était pour moi une maladie Qui porte le virus du b Entre les deux premières voyelles du verbe aimer. Aussi je voulais changer le monde Quand tu as changé le mien, J’aspire à être le soleil de ta vie Car tu es toutes les étoiles de mon ciel.

— Stéphen Moysan,
Ce pour quoi manquent les mots

XXX

Je veux me nourrir de toi, Plus d’orgies des mots creux, Car tu as le bon goût de vivre En donnant faim d’amour. Entre nous Impossible de se faire la guerre Au toucher des yeux Ta peau nue est drapeau blanc.

— Stéphen Moysan,
Lignes de vie

XXXI

Tes cheveux sont une couronne d’honneur,* Tes yeux, les étoiles de mes jours, Tes lèvres, des violons pour mon cœur, Tes seins, deux coussins pour mes peines, Ton ventre, la vallée de mes désirs, Ton sexe, la rivière de ma jouissance, Tes jambes ouvrent un chemin vers la liberté, Ton corps est le temple de mon bonheur.

— Stéphen Moysan,
* Mots de la Bible
Vertiges du temps qui s'envole

XXXII

Tu as l’espoir contagieux Comme un éclat de rire, En ta compagnie, des lendemains Qui n’offrent pas de regrets. Tu es mon indispensable, Tu m’as fait croire en toi, Tu m’as fait croire en moi Qui ne croyais plus en rien.

— Stéphen Moysan,
À la femme que j’aime

XXXIII

J’étais seul à t’imaginer Apportant au temps sa densité, Je ne te connaissais pas Mais tu me manquais déjà. Et maintenant que je te vois J’aimerais me souvenir de demain Conquérir ce présent D’un passé qui n’est plus sans toi.

— Stéphen Moysan,
L'Alchimie des mots

XXXIV

Je te cœur Tu me sangs On s’électrise Atomes crochus. Tu me zens Je te prie Notre religion L’amour infini.

— Stéphen Moysan,
J'ai voulu dire ce que ça dit

XXXV

Je te lune Tu m’étoiles Vision singulière Nous dans l’unité. Tu m’inspires Je t’expire Souffle de lumière La vie c’est aimer.

— Stéphen Moysan,
J'ai voulu dire ce que ça dit

XXXVI

Tu danses la lune Tu swings le soleil Tu vagues les nuages Tu nages dans les airs. Tu envoles tes rêves Dans des pays sans frontières Tu étoiles la Terre D’amour et de lumière.

— Stéphen Moysan,
J'ai voulu dire ce que ça dit

XXXVII

Tu fleures l’amour Tu pollenes mon cœur Tu papillonnes mon âme Tu m’aimes feu de joie. Tu lucioles ma vie Tu hirondelles de paix Tu musiques de la nature Tu et moi qui m’émerveille.

— Stéphen Moysan,
Mots noirs et lettres vitamines

XXXVIII

Ton amour mon éveil Au baiser du matin - Ta joie mi-journée A l’esprit l’après-midi. Ta douceur en soirée Mon coucher de soleil - Ton corps pour mes nuits Et toi pour le reste de mes jours.

— Stéphen Moysan,
L'autopsie du verbe

XXXIX

Tu haute-fréquences du cœur Sans écran de fumée Y a des pixels d’amour Dans tes yeux. Je te main dans la main Ça connecte à l’espoir Et je caresse le rêve De te vivre.

— Stéphen Moysan,
Eden sentimental

XL

Tu connexions cosmiques Qui ensoleillent la vie Et vibrations lunaires Qui étoilent les nuits. Tu comètes de rêves Les vœux se réalisent Tu univers mon énergie De ton amour en expansion.

— Stéphen Moysan,
Danse avec les étoiles

XLI

L’amour poésie qui se possible Dans l’alchimie d’un présent d’éternité Mes baisers sur les collines de tes seins Mes mains sur les vallées de ton corps. Frissons de l’âme au vent de ton souffle, Je fleurs le parfum de ton cou Tu cœurs unifiés aux battements de tambour Jouissance sur les chemins du plaisir.

— Stéphen Moysan,
Cœur soleil

XLII

Si j’étais un objet, J’aimerais être un livre, Pour que tes mains me touchent Et que tes yeux me dévorent. Et tu serais ma religion, Car de toi j’ai vu l’invisible, J’ai cru l’incroyable Et j’ai reçu l’impossible.

Composé à partir de citations internet
— Stéphen Moysan
Bouquets de mots
}