Souvent au-devant de nous
Souvent au-devant de nous
l'âme-oiseau s'élance ;
c'est un ciel plus doux
qui déjà la balance,
pendant que nous marchons
sous des nuées épaisses.
Tout en peinant, profitons
de son ardente adresse.
Vergers
Du même auteur
Les Poèmes de Rainer Maria Rilke de A à Z

- C'est le paysage longtemps
- C'est pour t'avoir vue
- C'est presque l'invisible qui luit
- C'est qu'il nous faut consentir
- Ce soir mon coeur fait chanter
- Cela ne te donne-t-il pas le vertige
- Cette lumière peut-elle
- Chemins qui ne mènent nulle part
- Combien a-t-on fait aux fleurs
- Combien de ports pourtan
- Comme tel qui parle de sa mère
- Comme un verre de Venise
- Comment encore reconnaître
- Contrée ancienne
- Corne d'abondance