Éternels Éclairs

Autoportrait avec un ami, par Raphaël
Raphaël
Autoportrait avec un ami
Huile sur toile
99 × 83 cm
1518-1519

Musée du Louvre, Paris, France
Baldassare de Castiglione, par Raphaël
Raphaël
Baldassare de Castiglione
Huile sur toile
82 × 67 cm
1514-1515

Musée du Louvre, Paris, France
Bindo Altiviti, par Raphaël
Raphaël
Bindo Altiviti
Huile sur bois
59,7 × 43,8 cm
1512-1515

National Gallery of Art, Washington, USA
Dame Isabelle de Requesens, par Raphaël
Raphaël
Dame Isabelle de Requesens
Huile sur bois transférée sur toile
120 × 95 cm
1518

Musée du Louvre, Paris, France
Elisabetta Gonzaga, par Raphaël
Raphaël
Elisabetta Gonzaga
Huile sur bois
52,9 × 37,4 cm
1504

Galerie des Offices, Florence, Italie
La dame à la licorne, par Raphaël
Raphaël
La dame à la licorne
Huile sur bois
65 × 51 cm
1506

Galerie Borghèse, Rome, Italie
La femme au voile, par Raphaël
Raphaël
La femme au voile
Huile sur toile
82 × 60,5 cm
1514-1515

Palais Pitti, Florence, Italie
La Grande Madone Cowper, par Raphaël
Raphaël
La Grande Madone Cowper
Huile sur toile
80,7 × 57,5 cm
1511

National Gallery of Art, Washington, USA
La Madone aux Oeillets, par Raphaël
Raphaël
La Madone aux oeillets
Huile sur bois
28,8 × 22,8 cm
1506-1507

National Gallery, Londres, Royaume-Uni
La Madone dans la prairie, par Raphaël
Raphaël
La Madone dans la prairie
Huile sur bois
113 × 88,5 cm
1505 - 1506

Kunsthistorisches Museum, Vienne, Autriche
La Madone della rosa, par Raphaël
Raphaël
La Madone della rosa
Huile sur bois transférée sur toile
268 × 160 cm
1518-1520

Musée du Prado, Madrid, Espagne
La Madone et l'enfant, par Raphaël
Raphaël
La Madone et l'enfant
Huile sur toile
58 × 43 cm
1505-1506

National Gallery of Art, Washington, USA
La Madone Sixtine, par Raphaël
Raphaël
La Madone Sixtine
Huile sur toile
265 × 196 cm
1512-1514

Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde, Allemagne
La Perla, par Raphaël
Raphaël
La Perla
Huile sur bois
147,4 × 116 cm
1518

Musée du Prado, Madrid, Espagne
La Sainte famille, par Raphaël
Raphaël
La Sainte famille
Huile sur bois transférée sur toile
207 × 140 cm
1518

Musée du Louvre, Paris, France
La Vierge au diadème bleu, par Raphaël
Raphaël
La Vierge au diadème bleu
Huile sur bois
68 × 44 cm
1510-1511

Musée du Louvre, Paris, France
La Vision d'Ézéchiel, par Raphaël
Raphaël
La Vision d'Ézéchiel
Huile sur bois
40,7 × 29,5 cm
1518

Galerie Palatine, Palais Pitti, Florence, Italie
Laurent II de Médicis, par Raphaël
Raphaël
Laurent II de Médicis
Huile sur bois
97 × 79 cm
1516-1519

Collection NC
Le pape Jules II, par Raphaël
Raphaël
Le pape Jules II
Huile sur bois
108 × 80,7 cm
1511-1512

National Gallery, Londres, Royaume-Uni
Portrait d'un cardinal, par Raphaël
Raphaël
Portrait d'un cardinal
Huile sur toile
79 × 61 cm
1510-1511

Musée du Prado, Madrid, Espagne
Portrait d'un jeune homme, par Raphaël
Raphaël
Portrait d'un jeune homme
Huile sur toile
43,8 × 29 cm
1518-1519

Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid, Espagne
Sainte Catherine, par Raphaël
Raphaël
Sainte Catherine
Huile sur bois
72,2 × 55,7 cm
1507

National Gallery, Londres, Royaume-Uni
Saint Michel terrassant le dragon, par Raphaël
Raphaël
Saint Michel terrassant
Huile sur bois transférée sur toile
268 × 160 cm
1518

Musée du Louvre, Paris, France
Transfiguration, par Raphaël
Raphaël
Transfiguration
Huile sur bois
405 × 218 cm
1518-1520

Musée du Vatican, Rome, Vatican

Éloge à Raphaël

« Le nom de Raphaël rappelle à l'esprit tout ce qu'il y a de plus élevé dans la peinture, et cette impression, qui commence par être un préjugé, est confirmée par l'examen chez tous ceux qui ont le sentiment des arts. La sublimité de son talent, jointe aux circonstances particulières dans lesquelles il a vécu, et à cette réunion presque unique des avantages que donnent la nature et la fortune, l'ont mis sur un trône où personne ne l'a remplacé, et que l'admiration des siècles n'a fait qu'élever davantage. C'est une espèce de culte que le respect de la postérité pour ce grand homme, et il est peut-être le seul, parmi les artistes de toutes les époques, je n'en excepte pas les poètes, qui soit comme le représentant ou le dieu lui-même de son art. Son caractère plein de douceur et d'élévation, ses inclinations nobles, qui le firent rechercher par tout ce que son époque avait d'hommes éminents, jusqu'à la beauté de sa figure et à sa passion pour les femmes, ajoutent dans l'imagination à l'attrait de ses ouvrages ; ensuite sa mort prématurée, sujet de regrets éternels et qui fut un malheur public au milieu de l'époque brillante où fleurirent tous les beaux génies de l'Italie. »

— Eugène Delacroix
extrait de la Revue de Paris, 1830.
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