Éternels Éclairs

Ignudo, par Michel-Ange
Michel-Ange
Ignudo
Fresque
Dimensions NC
Entre 1508 et 1512

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
La création d'Adam, par Michel-Ange
Michel-Ange
La création d'Adam
Fresque
230,1 x 480,1 cm
1511

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
La création du soleil de la lune et des plantes, par Michel-Ange
Michel-Ange
La création du soleil, de la lune et des plantes
Fresque
280 x 570 cm
1511

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
La Sibylle de Cumes, par Michel-ange
Michel-Ange
La Sibylle de Cumes
Fresque
380 x 375 cm
1510

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
La sibylle de Delphes, par Michel-ange
Michel-Ange
La Sibylle de Delphes
Fresque
380 x 350 cm
1509

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
La Sibylle libyenne, par Michel-ange
Michel-Ange
La Sibylle libyenne
Fresque
395 x 380 cm
1510

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
La tentation d'Adam et Ève, par Michel-ange
Michel-Ange
La tentation d'Adam et Ève
Fresque
280 x 570 cm
1509-1510

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
Le jugement dernier, par Michel-Ange
Michel-Ange
Le jugement dernier
Fresque
1370 x 1220 cm
1537-1541

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
Le prophète Ezechiel, par Michel-Ange
Michel-Ange
Le prophète Ezechiel
Fresque
380 x 355 cm
1510

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
Le prophète Isaiah, par Michel-Ange
Michel-Ange
Le prophète Isaiah
Fresque
380 x 365 cm
1509

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
Le prophète Jérémiah, par Michel-Ange
Michel-Ange
Le prophète Jérémiah
Fresque
390 x 380 cm
1511-1512

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
Le prophète Zacharie, par Michel-Ange
Michel-Ange
Le prophète Zacharie
Fresque
390 x 360 cm
1509

Chapelle Sixtine, Vatican, Italie
Le supplice de Saint-Antoine, par Michel-Ange
Michel-Ange
Le supplice de Saint-Antoine
Fresque
390 x 360 cm
1487-1488

Kimbell Art Museum, Fort Worth, Texas
Mise au tombeau, par Michel-Ange
Michel-Ange
Mise au tombeau
Tempera
159 x 149 cm
1501

National Gallery, Londres, Angleterre

Éloge à Michel-Ange

Certe, il était hanté d’un tragique tourment,
Alors qu’à la Sixtine et loin de Rome en fêtes,
Solitaire, il peignait Sibylles et Prophètes,
Et, sur le sombre mur, le dernier Jugement.

Il écoutait en lui pleurer obstinément,
Titan que son désir enchaîne aux plus hauts faîtes,
La Patrie et l’Amour, la Gloire et leurs défaites ;
Il songeait que tout meurt et que le rêve ment.

Aussi ces lourds Géants, las de leur force exsangue,
Ces Esclaves qu’étreint une infrangible gangue,
Comme il les a tordus d’une étrange façon !

Et dans les marbres froids où bout son âme altière,
Comme il a fait courir avec un grand frisson
La colère d’un Dieu vaincu par la Matière !

— José Maria de Heredia
« La nature et le rêve », Les trophées.
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